Nature en tête : pourquoi le silence des forêts apaise plus que les mots ?
Il arrive un moment où les mots ne suffisent plus. Où parler fatigue. Où expliquer, analyser, comprendre devient une lutte intérieure plutôt qu’un soulagement. Dans ces instants de surcharge mentale, de trop-plein émotionnel, de quête de paix, c’est souvent vers la nature que l’on se tourne. Et plus précisément, vers la forêt. Non pas pour y trouver des réponses toutes faites, mais pour y goûter quelque chose de plus rare, de plus subtil : le silence. Un silence vivant. Un Psychologues paris12